Épisode 5 : Le repos de la bravitude

Sofsof_dort_dans_sa_tente

Comme on fait son lit, on se couche. C’est donc après une longue journée riche en émotions que notre jeune amie pique un somme sous la toile de sa mini iTent 7’’.

Comme l’a si bien dit Cervantès : « Béni soit celui qui inventa le sommeil ». Et sans attendre une minute de plus le marchand de sable, Nounours, Prince Valium flanqué de son fidèle Hypnos et les troupeaux de moutons, Sofsof invoque Morphée pour qu’il l’emmène dans ses grands bras. Rien ne vient troubler le repos de la guerrière, pas même la faim. Car, qui dort dîne comme chacun le sait. C’est dire.

Comme… RONFL !

Episode 3 de son arc : Sofsof à l’aéroport ou une histoire de transit…

04. Sofsof aux toilettes de l'aeroport_small

Ne le cachons pas davantage et dévoilons la fesse face cachée de notre héroïne. Oui, cher lecteur, toi qui lis tranquillement installé devant ton écran, qui penses que Sofsof n’est qu’un personnage insouciant, bondissant et candide, sache qu’elle est avant tout humaine. Comme chacun d’entre nous, elle doit affronter les difficultés de la vie, et comme chacun d’entre nous, elle est mue par des besoins…

Ce soir, le coté le plus obscur de notre amie vous est révélé… Elle tient cependant à souligner l’extrapolation, l’exagération et la surinterprétation honteuses auxquelles son illustrateur s’adonne joyeusement sans complexe. Mais devant une telle fougue créatrice, et au nom de la libre expression de chacun, elle n’a pu que s’incliner et dans son infinie magnanimité, nous a donné son accord de publication…

Arff ! Je te déteste Fabrèze…

Le dessous des cartes…

07. Sofsof consulte les guides de voyage_small

 

Chères lectrices, chers lecteurs,

Intrépide exploratrice devant l’éternel, Sofsof va enfin effectuer son premier grand voyage. Pour étancher sa soif de découverte du monde, elle veut être préparée au mieux. Littéraire jusqu’au trognon, Sofsof épluche une pomme et chaque document relatif à la Croassie Croatie, en quête de la moindre anecdote aussi croustillante qu’un biscuit. Mercator, Peters et Robinson l’ont à la Bonne mais aussi à l’usure. Elle creuse malgré tout dans les mines d’informations plus pointues qu’une pioche afin d’extraire le moindre détail, exhumer le plus intime secret, saisir la plus infime vibration de l’âme qui anime le peuple croate.

Elle a enfin trouvé le nom de la capitale.